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11ème article : Jésus ne nous a-t-il pas laissé un TRESOR ? Celui de l’EUCHARISTIE !

Dernière mise à jour : 2 juin


« Chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez à cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne » (1 Co, 11, 26).

 

Je souhaite un très bon anniversaire à tous ceux qui ont dit OUI à Jésus et qui furent ordonnés.

Merci de Le Suivre et de servir vos frères et sœurs.

 

La main du prêtre 

 

La main du prêtre, main bénie,

Main visible du Tout-Puissant, baptise,

Absout et communie,

Par elle en nous le Ciel descend.

Elle soutient, elle pardonne,

Elle affirme la vérité.

Comme elle reçoit elle donne,

C’est la main de la charité.

La main du prêtre, oh qu’elle est belle !

Quand elle absout un cœur contrit,

Quand elle courbe un front rebelle

Au joug léger de Jésus-Christ.

La main du prêtre, oh qu’elle est douce !

Elle aide, elle enseigne à souffrir

Jamais cette main ne repousse

Une douleur qui veut guérir.

La main du prêtre, oh qu’elle est forte !

L’enfer tremble sous cette main,

Qui du Ciel nous ouvre la porte,

Comme elle ouvre le chemin.

Veuve Anna Crauste

 

 Cette prière a été retrouvée dans les affaires de Madame Veuve Anna Crauste des Hautes Pyrénées, elle fut la gouvernante de l’Abbé Adolphe Cantet, charismatique dans les années 1970. Sa petite fille qui me l’a transmise n’est pas sûre que sa grand-mère ait pu écrire cette belle prière, malgré que cela lui corresponde.

 

 

 Quatre jours avant la fête de Pâques, le Jeudi saint, les chrétiens commémorent le dernier repas du Christ avec les douze apôtres, la veille de sa crucifixion. C'est au cours de ce repas que fut instituée l'Eucharistie, "source et sommet de toute vie chrétienne" selon le Vatican.

1 réf : Un article rédigé par Amélie Gazeau - RCF, le 11 avril 2022  -  Modifié le 22 mars 2024

 

Le Jeudi saint marque le début du triduum pascal, cet "espace de trois jours" central dans la liturgie chrétienne. Pendant ces trois jours, l'Église va célébrer la Passion, la mort et la résurrection de Jésus. 

Ces trois jours commencent par deux gestes forts : d'une part le lavement des pieds et d'autres part la Cène, le dernier repas du Christ,…

 

 

 Le lavement des pieds.

 

« Je Me ceignis d’un linge pour leur montrer que l’Apôtre doit se ceindre de mortification et d’abnégation, […]

 

 « […] Je voulus Me faire leur Aliment, leur Soutien, leur Vie et leur Tout…

 

Un Appel à l’Amour. Message du Sacré Cœur à sœur Josefa Menéndes. 2014. Œuvre du Sacré Cœur, Les Feuillants, 1 voie André Malraux, 86000 Poitiers. Page 289

 

 

« Le récit de la Cène dans l’évangile de Marc (Marc 14, 12-31) »

“ 12 Le premier jour de la fête des pains sans levain, où l’on immolait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui disent : « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? »

13 Il envoie deux de ses disciples en leur disant : « Allez à la ville ; un homme portant une cruche d’eau viendra à votre rencontre. Suivez-le,

14 et là où il entrera, dites au propriétaire : “Le Maître te fait dire : Où est la salle où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?”

15 Il vous indiquera, à l’étage, une grande pièce aménagée et prête pour un repas. Faites-y pour nous les préparatifs. »

16 Les disciples partirent, allèrent à la ville ; ils trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.

17 Le soir venu, Jésus arrive avec les Douze.

18 Pendant qu’ils étaient à table et mangeaient, Jésus déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous, qui mange avec moi, va me livrer. »

19 Ils devinrent tout tristes et, l’un après l’autre, ils lui demandaient : « Serait-ce moi ? »

20 Il leur dit : « C’est l’un des Douze, celui qui est en train de se servir avec moi dans le plat.

21 Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »

22 Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit, le leur donna, et dit : « Prenez, ceci est mon corps. »

23 Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, et ils en burent tous.

24 Et il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude.

25 Amen, je vous le dis : je ne boirai plus du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, dans le royaume de Dieu. »” «https://hozana.org/bible/jesus/la-cene

 

 

 Institution de l’Eucharistie

 

« Quand le prêtre,

 Nicolas Buttet. L’Eucharistie à l’école des saints. 2000. © Editions de l’Emmanuel. Pages 86 et 87. Réf 11 du livre de Nicolas Buttet : S.Ambroise, De sacram. IV, 14 ; coll. « Sources chrétiennes », 25 bis.

 

après avoir invoqué l’Esprit Saint, prononce les paroles de la consécration, ce n’est pas pour signifier la Présence réelle, c’est pour l’effectuer. Ce sont les paroles mêmes du Christ et  c’est le Christ Lui-même qui les prononce par la bouche du prêtre.

 

La Parole fait ce qu’elle dit par la puissance du Saint Esprit. […] Au moment où ces paroles sont prononcées, le Christ est alors réellement présent. « […] Le pain se change en la Chair du Christ. […]

 

C’est donc la Parole du Christ qui produit le sacrement (réf11). » En fait, les paroles prononcées une fois par le Christ le Jeudi Saint ont une efficacité qui s’étend à toutes les Eucharisties célébrées dans tous les lieux et à tous les temps de l’histoire. […]  Le prêtre agit […] en la personne du Christ. »

 


Les Paroles de Jésus transmises par saint Paul :

Première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens 11, 23 à 26.

« Je vous ai pourtant transmis, moi, ce que j’ai reçu de la tradition et qui vient du Seigneur : la nuit même où il était livré, le Seigneur Jésus prit du pain,

24 puis, ayant rendu grâce, il le rompit, et dit :

« Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites cela en mémoire de moi. »

25 Après le repas, il fit de même avec la coupe, en disant :

« Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de moi. »


26 Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. »

 


« Rappelons-nous avec bonheur la beauté de la Liturgie Eucharistique célébrée par tous les prêtres qui, 

en vertu de l'onction sacerdotale reçue le jour de leur ordination, offrent chaque jour le Saint Sacrifice de la Messe in persona Christi.


Ces prêtres, qui ont fait sans retour don de leur vie à Dieu et à l'Église, sont des amis de Jésus qui célèbrent avec ferveur le Sacrifice de la Messe.


Ces prêtres, dont le cœur est rempli de la grâce sacerdotale et de l’amour de Dieu et des âmes, est uni au Cœur sacerdotal de Jésus qui s’offre à son Père pour le salut du monde.

 

Aussi quand nous participons à la Sainte Messe ravivons notre Foi en la Présence sacramentelle de Jésus sur l'autel. Oui en toute vérité, le Prêtre après les paroles consécratoires tient Jésus Lui-même dans ses mains, et il L'élève sur l’autel afin que nous puissions l’adorer et vivre intensément en union avec Notre Sauveur cette offrande d’Amour de Son Corps et de Son Sang qui nous fait revivre le sacrifice du Calvaire et recevoir des trésors de grâces.

 

Ces instants d’Amour doivent nous unir si fortement à Jésus, que notre cœur s'enflamme et brûle à l’unisson du Sien »

(Mon texte a été relu et corrigé par un prêtre.)

 


Ce Sacrement d’Amour doit nous transporter, nous fortifier et nous transformer. Réapprenons à nous mettre à genoux en remerciement de ce qu’Il a accompli pour nous sur la Croix.

 

Saisissons-nous le miracle extraordinaire qui se déroule sous nos yeux, le pain qui devient le Corps de Jésus, le vin qui devient Son Sang quand le prêtre prononce les paroles que Jésus a prononcées le Jour de la Cène ou Jeudi Saint.

Nous sommes conviés à nous nourrir de ce « pain qui descend du ciel » St Jean 6, 58

 

« Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ;

et moi je le ressusciterai au dernier jour ». St Jean 6, 54

 

« Jésus demeure en moi et moi en lui.» St Jean 6, 56

 

 

« Je regarde le visage de Padre Pio, 

 

Maria WINOWSKA. Le vrai visage du PADRE PIO. Vie et survie. » Tel qu’en lui-même l’éternité le change. » 1955. Fayard. ©Librairie Arthème Fayard, 1955. ©Librairie Arthème Fayard 1976. Pages 21, 22, 23.  

 

[…] A partir de l’Offertoire […] On dirait qu’il ramasse le monde entier dans cet acte d’offrande. […] «Voilà ce que je t’offre, Père éternel, au nom du Fils que je représente. Ces détresses humaines. Cette angoisse dévorante. Ces souffrances. Ces péchés […]

 

Voici que je lance tout ça […] dans tes Bras, sur ton Cœur. […] Les minutes coulent comme des gouttes de sang. […] par la messe nous accédons à l’éternel. […] Le Calvaire est présent dans chaque messe. […]

 

Le voici enfin tenant à bout de bras son Dieu devenu Pain ! […] ses traits se détendent et deviennent lumineux.

 

Parfois un sourire affleure sur ses lèvres et ses yeux, très doux, caressent l’hostie d’un regard infiniment tendre. […]. Je l’ai vu voyant à travers les apparences. »

 


Citation du Père Matéo Crawley 

« Pour aller à la Communion, il faut l’appétit, la faim de Jésus, ce qui donne de la valeur à la Communion, c’est l’amour, c’est l’amour dont on est animé avant, pendant et après cet acte. »

 

 

 Les Saints nous enseignent : Saint Tarcisius

  

Nicolas Buttet. L’Eucharistie à l’école des saints. 2000. © Editions de l’Emmanuel. Page 207. Réf. 274. Jean Ladame. Témoins privilégiés de l’Eucharistie. Ed. Résiac, Montsûrs, 198p.11.

 

« […] Tarcisius, cet enfant mort vers 257 qui reçut le  Saint Sacrement pour le porter aux malades. Il fut arrêté par les soldats qui gardaient l’entrée des catacombes. Il refusa de leur livrer le Corps du Christ qu’il portait autour du cou dans une petite boite en argent. On le tua à coups de bâtons et à coups de pierres.

 

Ce martyr de l’Eucharistie fut enterré dans un caveau papal. Le pape Damase (†384) dira de lui : « Il aima mieux se laisser tuer lui-même et rendre l’esprit que de livrer le Corps de Dieu aux chiens enragés. » 

 


« Saint Tarcisius dira aussi » :

 » Ne vous occupez pas de moi, mais prenez soin des hosties que je porte. »

 

Lu sur le site htp://www.evangeliumvitae.org/documents/166/guetteurs-veilleurs/formation/vie-de-Sainttarcisius.htm Mais au 18 décembre 2016, à ma demande de publication, le père Hubert Lelièvre me dit que cet article n’est pas une production de l’Evangile de la Vie. Il ne sait plus d'où vient cet article signé sur son site : Père Pierre et J. de Brandois - St Tarcisius, martyr de l'Eucharistie

 

 

 Dans le cadre de l’aumônerie de l’hôpital, je portais la Sainte Communion à de nombreuses personnes malades et même à des prêtres malades.

 

C’était une joie et un honneur de porter Jésus à ces personnes malades alitées qui attendaient avec une telle impatience celui ou celle qui leur apporterait Jésus, le Soleil de leur vie, comme certains disaient.

 

Un prêtre m’avait recommandé de porter le Corps du Christ dans la custode autour du cou dans un petit sac en tissu fabriqué avec amour par une religieuse dans l’exercice de ma mission.

 

Ainsi, les personnes malades qui ne voulaient pas recevoir Jésus pouvaient faire ainsi une rencontre avec Lui, Notre Roi d’Amour. Je passais dans un couloir et une résidente criait exacerbée à chacun de mes passages alors qu’elle ne pouvait pas me voir lorsque j’approchais de la chambre de sa voisine.

 

Après réflexion, je me suis rendue compte que c’était l’Ennemi de nos âmes qui se manifestait. J’ai avisé l’aumônier laïc qui a prévenu le prêtre aumônier. Nous avons accompagné le prêtre dans la prière de délivrance pour cette dame.

 

A la fin de la prière, quand le prêtre a approché le crucifix de ses lèvres, elle s’est surélevée pour embrasser souriante Celui qui venait de la libérer. Les cris ont cessé définitivement.

 

Elle est morte quinze jours plus tard dans la paix.

Tout faire pour la Gloire de Dieu et le salut des âmes !

 

 


De Saint François d’Assise qui discutait avec Rufin, l’un de ses frères mineurs :

 

P. Eloi LECLERC Franciscain. Sagesse d’un Pauvre. Présence de Saint François – 7. 1977. Imprimatur 8 janvier 1959. Editions Franciscaines. 9, rue Marie-Rose, Paris – 14ème. Pages 87, 88, 90

 

« Un pauvre selon l’Evangile : un homme qui, librement, a renoncé à exercer tout pouvoir, toute espèce de domination sur les autres, et qui […] n’est pas mené par une âme d’esclave, mais par l’esprit le plus noble qui soit, celui du Seigneur. […]

 

L’Esprit du Seigneur est un esprit […] de douceur et d’allégresse.

 

[…] Avec l’aide du Seigneur, tu as surmonté ta volonté de domination et de prestige. Mais ce n’est pas seulement une fois, mais dix, vingt, cent fois qu’il te faudra la surmonter. […] Tu n’y parviendras pas en luttant, mais en adorant, […]

 

L’homme qui adore Dieu reconnaît qu’il n’y a de Tout Puissant que lui seul. Il le reconnaît et il l’accepte. Profondément, cordialement. Il se réjouit de ce que Dieu soit Dieu. Dieu est, cela lui suffit. Et cela le rend libre. […]

 

Si nous savions adorer, […] rien ne pourrait véritablement nous troubler. Nous traverserions le monde avec la tranquillité des grands fleuves. »

 

 

Les Saints nous enseignent : De Saint François de Sales 

 

« Saint François de Sales   

 

Nicolas Buttet. L’Eucharistie à l’école des saints. 2000. © Editions de l’Emmanuel. Page 149. N°Ref 94 dans le livre de Nicolas Buttet : S. François de Sales, Introduction la vie dévote, IIème partie, chap.21, dans Œuvres, coll. de la Pléiade, P. 120-121.

 

justifiait ainsi son appel à la Communion fréquente :

« Si le monde vous demande pourquoi vous communiez souvent, dites au monde que c’est pour apprendre à aimer Dieu, pour vous purifier de vos imperfections, pour vous délivrer de vos misères, pour trouver la consolation de vos peines, et pour vous soutenir dans vos faiblesses.

 

Dites au monde que deux sortes de gens doivent communier souvent :

les parfaits, parce qu’étant bien disposés, ils auraient grand tort de ne pas s’approcher de la source de la perfection ;

et les imparfaits afin d’aspirer à la perfection ;

les forts, de peur de s’affaiblir,

les faibles afin de se fortifier ;

les saints, pour se préserver de toutes maladies,

les malades pour chercher la guérison.

 

Mais ajouter que pour vous, étant du nombre des âmes imparfaites, faibles et malades, vous avez besoin de recevoir souvent l’Auteur de la perfection, le Dieu de la force, le Médecin de votre âme (réf94). »

 


Adoration Eucharistique

Savons-nous que nous pouvons recevoir une indulgence plénière lorsque nous adorons le Saint Sacrement pendant une demi-heure.

 

Nous chantons avant que le prêtre dépose le Saint Sacrement dans le tabernacle le Tantum ergo sacramentum (un si grand sacrement), une belle prière que l’Ennemi n’aime pas du tout.

 

Nous pouvons aussi recevoir une indulgence plénière, soit en récitant un chapelet en le méditant, soit en lisant la Parole de Dieu pendant trente minutes.

Offrons des indulgences plénières à nos chers défunts ou à des agonisants.

 



Jésus peut faire des miracles, si l’on croit en sa Puissance.


L’aumônier prêtre de l’hôpital m’avait demandé de porter Jésus Eucharistie à Marie qui ne parlait plus depuis deux ans enfermée dans la maladie d’Alzheimer. Je la préparais à recevoir la Sainte Eucharistie en lui lisant le passage de l’Evangile « lève-toi et marche (Mt 9,5) » et je l’interrogeais « voulez-vous communier ? » J’ai précisé « voulez-vous recevoir Jésus ? »  

 

Et j’entendis une réponse « oui ».

Dans la joie, j’interpellais son mari en lui disant : « avez-vous entendu la réponse de votre épouse à ma demande si elle voulait recevoir la Sainte Communion ? »

 

Son mari me répondit : « C’est impossible puisqu’elle ne parle plus depuis deux ans ». Comme je n’étais pas sourde, j’ai reposé la question à Marie, son mari était attentif cette fois-ci et nous avons entendu Marie me dire « Oui, je veux Jésus ».

 

La Puissance de Jésus-Eucharistie venait de briser l’enfermement de la maladie. Plus tard, lorsque je sortis de la chambre, je croisais une infirmière qui me confia « cette dame ne vous demandera jamais la Communion ».

 

Trop tard, Marie venait de retrouver Jésus, elle qui avait été « enfant de Marie » pendant toute son enfance. Tout ce qui avait été semé ne fut pas perdu !

 

Et Marie reçut régulièrement Jésus-Hostie tous les dimanches ! 

 

Et grâce à Jésus, la barrière de la maladie a pu être brisée de nombreuses fois à chacune de mes visites quand je lui racontais les différentes apparitions de la Vierge Marie dans le monde qui l’ouvraient sur une vie plus réjouissante que celle qu’elle vivait.

 Jusqu’au jour où son mari fut jaloux de notre entente cordiale (j’avais des soupçons de maltraitance) et je la confiais à mon collègue. Mais ce ne fut plus pareil !

 



Quant aux miracles eucharistiques, je vous laisse le soin de les découvrir par vous-même.

N’est-ce pas que Jésus Eucharistie est Tout-Puissant !

Aimons-Le ce Dieu d’Amour.

 

De mémoire :

« une vague monstrueuse qui faisait des rouleaux devant Jésus comme si elle s’agenouillait devant le Saint Sacrement que portait un prêtre rentrant dans l’eau d’une mer démontée, son village fut sauvé…, »

 

« un animal affamé qui délaisse la botte de foin pour plier ses jarrets devant Jésus Hostie »

 

« le vin qui devient du Sang parce que le prêtre ne croyait pas à la Présence réelle, »

 

« une Hostie tombée dans la boue qui ressort dans le calice d’une fleur ! »

 


Le miracle de Lanciano en l’an 700

C’est dans une petite ville d’Italie, celle où, dit-on, naquit le centurion qui a percé le flanc du Christ, que l’un des plus célèbres miracles eucharistique eut lieu. Comme beaucoup de ses semblables, le prêtre eut, au cours de la messe, quelques doutes sur la présence réelle de Jésus dans le pain et dans le vin qu’il allait consacrer.

C’est alors que ceux-ci se changèrent sous ses yeux en véritable chair et en véritable sang. Aujourd’hui encore, ce morceau de chair est conservé, avec quelques caillots de sang coagulés depuis.

À la demande de l’Église, les reliques furent analysées par la science en 1970 et révélèrent que la chair était celle du cœur d’un homme, et que le sang était frais (c’est-à-dire qu’il n’avait pas connu la corruption du temps).

 

En effet, admirez les miracles Eucharistiques et priez surtout devant de telles Merveilles et remerciez Jésus-Christ pour sa grande bonté envers nous.

 

Quand j’enseignais le catéchisme, j’aimais beaucoup raconter à mes jeunes ces miracles eucharistiques qui les aidaient à croire.

 


Un miracle eucharistique le 17 janvier 2022 dont je suis la seule bénéficiaire :

 

Je vous partage une très grande grâce vécue le 17 janvier 2022, fête anniversaire des Apparitions de Notre Dame à Pontmain, j'avais appelé à l'aide un prêtre que je ne connaissais pas, un peu loin de mon domicile pour qu'il m'apporte les Sacrements de Pénitence et d'Eucharistie, étant fort attaquée depuis 1er janvier 2022. 

 

Quand, après m'avoir écoutée et confessée, le Prêtre m’a donné la Sainte Eucharistie. J'ai reçu une très grande grâce mystique. Ayant gardé quelques secondes, la Sainte Hostie dans ma bouche, j'ai ressenti du sang, j'ai cru que c'était une de mes dents qui saignait. 

 

J'ai rendu grâce pour ce bonheur que Notre Seigneur vienne jusqu'à moi, étant dans l'impossibilité de sortir, puis j'ai avalé la Sainte Hostie. Enfin, j'ai beaucoup remercié le prêtre et l'ai raccompagné au portail.

 

Puis, en rentrant, j’entendis le téléphone qui sonnait, c’était une amie qui me partageait ses soucis. 

 

Et à 15h, j'ai repris un temps d'action de grâces et j'ai appris avec une grande joie que ce n'était pas mon sang qui s'était mélangé dans la Sainte Hostie, mais le Sang de Notre Seigneur. DEO GRATIAS !

 

J'en ai tant besoin dans ce combat spirituel que je mène depuis plus de douze ans. Et c'était la première fois que cette grâce m'était donnée.

Mais elle était annonciatrice d'une plus grande épreuve, m’a-t-il été révélé ! En effet, je le confirme.

 

 

« Nous avons de multiples raisons de nous émerveiller et de rendre grâce : « car nous étions esclaves de la mort et du péché » (Temps Ordinaire I).


« Il nous a délivrés de la mort éternelle » (T.O.UU) ; en souffrant sa passion, il a supprimé nos fautes » (T.O.IV)»

 

Paule de Mauvaisin, La messe une belle histoire d’amour. Nihil Obstat et Imprimatur 22 avril 1998 †Bernard Panafieu. Archevêque de Marseille. 2001. © By Editions Résiac. Page 143.

 


« La Sainteté de Dieu, c’est son Amour !


La Puissance de Dieu, c’est la puissance de son AMOUR !


C’est son AMOUR qui est à l’origine de tant de merveilles car il n’a pas « de l’amour ».


Il est L’AMOUR ! »


 Paule de Mauvaisin, La messe une belle histoire d’amour. Nihil Obstat et Imprimatur 22 avril 1998 †Bernard Panafieu. Archevêque de Marseille. 2001. © By Editions Résiac. Page 144.

 

 


En août 2010, après le pèlerinage annuel de Pellevoisin, je repartais en voiture chez mes parents avec une personne que j’appellerai Martine que je considérais à l’époque comme une amie.

Je portais dans une custode déposée dans un tout petit sac autour de mon cou deux Saintes Hosties qui m’avaient été confiées par le prêtre responsable pour mes parents malades. J’avais l’autorisation de porter l’Eucharistie aux personnes malades. Deux auparavant, il m’avait déjà autorisée à le faire et je n’avais rencontré aucun problème. Dans sa paroisse, personne ne portait la Sainte Communion à mon père, malade d’Alzheimer.

 

Sur la route départementale, je conduisais en musique ayant mis en sourdine une cassette de chants religieux entendant Martine réciter à mi-voix un chapelet. J’étais étonnée qu’elle ne me demande pas de m’associer à sa prière, après ce week-end de grâces.

 

Après dix minutes de conduite, j’entendis :

Une voix haineuse me dire : « Jette-Le. »

 

Je compris tout de suite que j’ai affaire au démon qui me demande de jeter la Sainte Eucharistie, donc Jésus. Il sait que Jésus est présent réellement dans l’Hostie et le démon ne m’a pas dit « jette-la » !  

 

J’implore tout de suite la Sainte Trinité, la Vierge Marie, saint Joseph, saint Jean, saint Tarcissius qui m’est venu spontanément aux lèvres, sainte Thérèse, mon ange gardien et tout le Ciel de m’aider.

Et je prends des mesures physiques, je remonte la fenêtre au maximum malgré la chaleur, j’essaye de refermer ma veste, la custode est sur mon cœur, je place mes mains sur le volant et je continue à rouler.

J’essaye de protéger Martine, elle peut avoir peur si je lui raconte.

 

Une nouvelle fois, la voix haineuse reprend : « Jette-Le par la fenêtre. »

Je persiste à prier le Ciel de m’aider, je prie.

Je poursuis ma route et je réfléchis à la conduite à tenir tout en restant en prière. Je peux m’arrêter et avaler les deux Saintes Hosties, mais mon père n’aura pas l’Eucharistie, peut-être le viatique s’il devait mourir. Mais, quelque part, c’était faire le jeu du démon !

 

A ce moment de mes réflexions, une voix douce me dit : 

« Tu pries sur les autres, prie sur toi. » 


Instinctivement, j’ai prié comme à Lourdes quand j’avais accueilli la personne possédée et j’ai prié sur moi comme sur les autres.

J’ai demandé à Martine de m’associer à son chapelet en lui disant que j’avais une attaque démoniaque. Elle me dira plus tard, qu’elle en avait été avisée, elle, par l’Ennemi !


Nous avons récité une dizaine de chapelet, entrecoupée de prières de louange et de libération que je prononçais, puis d’autres dizaines de chapelet, entrecoupées des prières citées, jusqu’à ma destination, en implorant toujours l’aide du Ciel à voix haute. (Le démon n’entend pas à voix basse !)

 

Un peu avant l’entrée de la ville, tout s’est arrêté, comme s’il ne s’était rien passé. Le combat était gagné avec l’aide de Dieu, de la Vierge Marie, de mon Ange Gardien et des Saints !

J’ai vécu cela, par permission divine, afin de savoir si j’étais capable de résister à la pression de Satan.

 

Je n’oublierais jamais ces deux voix, surtout la voix douce du Christ.

 

Dès que je suis arrivée, j’ai préparé tout de suite mon père et ma mère et je leur ai donné l’Eucharistie, Martine m’a témoigné que j’avais une puissance dans la voix.

 

Porter la Sainte Eucharistie est une belle mission ![]

 

 


Les saints nous enseignent : Saint Curé d’Ars 

« Quand nous voulons obtenir quelque chose de Dieu, offrons-lui son Fils Bien-Aimé avec tous les mérites de sa passion et de sa mort, Il ne pourra rien nous refuser. 

»

Livret Un Mois avec nos amies les Ames du Purgatoire, les connaître, les prier, les délivrer, de l’Abbé Berlioux, (1880), supplément au bulletin mensuel « l’Etoile », page 36.  Etoilenotredame.org  Etoile Notre Dame BP 434 - 53104 Mayenne cedex.

 


Du Saint Curé d’Ars : 

 

Nicolas Buttet. L’Eucharistie à l’école des saints. 2000. © Editions de l’Emmanuel. Page 128. N°Ref 25 : du livre de Nicolas Buttet : Abbé A. Monnin, Esprit du Curé d’Ars, Téqui, Paris, 1975.

 

« Celui qui communie se perd en Dieu comme une goutte d’eau dans l’océan. On ne peut plus les séparer. […] Allez à Jésus avec amour et confiance ! »

« Tous d'un même cœur étaient assidus à la prière avec quelques femmes, dont Marie mère de Jésus, et avec ses frères. » (Ac 1, 14)



Page 33 de mon premier ouvrage : « je témoigne donc auprès du Cardinal Lustiger que mettre ces Jeunes en présence de Jésus par l’Adoration Eucharistique est une catéchèse excellente. Cela vaut toutes les meilleures catéchistes du monde, car c’est Lui, Jésus, le Seul Educateur. »

 



« Voilà ce Cœur 

Découvrir le Cœur de Jésus avec Marguerite-Marie à Paray-le-Monial. Monastère de la Visitation, 13 rue de la Visitation. 71600 PARAY-LE-MONIAL. Plaquette réalisée avec la collaboration des Sœurs de la Visitation de Paray-le- Monial. ISBN 2-912168-04-7. 1998. Editeur responsable du collectif : J.C. Krikoriam.


qui a tant aimé les hommes, qu’il n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris qu’ils ont pour moi dans ce sacrement d’amour. Mais ce qui m’est encore le plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. »

 


Dans le cadre de l’aumônerie de l’hôpital de Murat dans le Cantal, j’ai vécu le Miracle de la Transfiguration le 7 novembre 2009 du visage d’une personne malade en fin de vie.



Les Evêques n’avaient pas voulu reconnaître le miracle Eucharistique du 7 novembre 1999 à Lourdes.

 

Hostie en lévitation à Lourdes 1999 - miracle eucharistique - Monseigneur Billé

 

Le dimanche 7 novembre 1999, il était diffusé en direct à la télévision française (sur France 2) une messe dans la célèbre ville de Lourdes, à l’occasion de l’Assemblée Plénière des Evêques de France. Ce banal évènement aurait pu passer totalement inaperçu sans ce qui se serait passé au moment de l’Epiclèse (invocation au Saint-Esprit dans les liturgies chrétiennes : elle se déroule au cours de la prière Eucharistique). Que s’est-il donc passé de si exceptionnel ce jour-là ? Alors que l’ensemble des célébrants de cette messe prononçaient les paroles : « en répandant sur elles ton Esprits », les spectateurs médusés ont pu voir une des deux grandes hosties de la célébration frémir puis se soulever de 2 centimètres environ au-dessus de l’autre. On aurait pu aisément croire à une simple illusion d’optique mais on notera que cette lévitation dure exactement le temps de la prière. A la fin de celle-ci l’hostie s’immobilise et retombe comme si de rien n’était. Les réalisateurs de l’émission « Le Jour du Seigneur » ont certifié que le phénomène s’était réellement passé sans aucune intervention quelconque de leur part. Les techniciens n’ont, quant à eux, pas pu fournir d’explications. Au moment des faits, Monseigneur Billé (décédé le 12 mars 2002, terrassé par un cancer), Archevêque d’Aix-en-Provence puis de Lyon, avait lui-même constaté le prodige et avait recommandé à ses collègues Evêques de garder le silence et de ne pas ébruiter l’affaire.

 

 

Mon accompagnateur spirituel m’avait demandé d’écrire ce que j’ai vécu avec cette mourante et de le publier à grande échelle :

 

Quand je suis passée devant Jeanne, malade agonisante que j’accompagnais pour la première fois et dernière fois pendant deux heures quarante-cinq minutes, le 7 novembre 2009, j’ai vu un visage resplendissant, des yeux ouverts, souriants, un beau visage plein de lumière, la bouche normale, des dents, des vraies dents bien blanches, pas un dentier qu'elle n'avait pas, le temps que je l'ai accompagnée.

 

J’ai vu un visage TRANSFIGURÉ. Nous avons vu un visage Transfiguré. […] Rendez-vous compte des merveilles de Notre Dieu ! Cette dame auprès de laquelle j’étais assise, j’ai pu la contempler pendant toute cette visite, j’atteste qu’elle n’avait pas de dentier pendant presque trois heures. En effet, les infirmières retirent le dentier à un mourant pour une raison de sécurité, bien facile à comprendre.

 

Comme saint Thomas (et saint Jean), je peux professer : « j’ai vu et j’ai cru. » Et je suis partie ! Je croyais déjà à la Transfiguration du Christ, mais vivre en direct cet instant Unique prend une dimension surnaturelle où j’ai vu en quelques minutes la Gloire de Dieu sur la terre des vivants. Ces dents blanches me remettent en mémoire « les vêtements blancs » de l’Apocalypse. La couleur blanche n’était-elle pas la couleur de la Résurrection ? […]

Les dents blanches me font percevoir que l’agonisante n’était plus souillée par ses péchés, ni par les esprits impurs liés aux péchés. […]

 

Le Prêtre présent (l'Aumônier de l'hôpital) que j'interrogeais beaucoup plus tard me confia :

« ce visage lumineux était bien pour vous, quand vous avez mis la main sur la poignée de la porte, tout s'est arrêté. »

 

Ce Prêtre avait seulement le désir de réciter une dizaine de chapelet avant son départ de la chambre, mais il a été tellement saisi par ce visage lumineux qu'il est revenu après son repas la veiller et prier un chapelet entier.

Lui aussi, c’était la première fois qu’il voyait une telle merveille alors que j’étais persuadée du contraire. En effet, tout le temps où j'avais été présente, je n'avais jamais vu ses yeux ouverts. Je suis partie avec ce beau souvenir d'elle […] [Tout ce témoignage, vous le trouverez dans mes livres]

 

 

Du cardinal Ch. JOURNET :


« L'Esprit Saint viendra au secours de son Église par des voies exceptionnelles. Aux moments décisifs de son histoire, il lui enverra des renforts inespérés. Il suscitera en elle des miracles de force, de lumière, de pureté: dans la hiérarchie, ou dans le peuple fidèle, des hommes et des femmes se lèveront (...).


Ils auront, pour annoncer leur message, tant de netteté dans le cœur (...), que le monde, secoué de sa léthargie, croira réentendre les apôtres. Ils feront des miracles, ils discerneront les esprits, ils parleront en langues. Ils seront les vrais prophètes.

Ils prophétiseront (...) pour éclairer, à la lumière de la Révélation, le mouvement de leur époque et les besoins de l'humanité.


En eux reparaîtront, sous une forme adaptée aux conditions nouvelles de la vie de l'Église, les grâces charismatiques qui, au témoignage de l'Écriture, furent élargies aux premiers chrétiens (1 Co 12, 7-11).

 

Ces venues de l'Esprit dans l'Église, ces visites, pourront se borner parfois à des secours miraculeux. Mais, le plus souvent, les manifestations charismatiques de l'Esprit Saint ne seront elles-mêmes que le signe extérieur, le contrecoup sensible d'une effusion surnaturelle, incomparablement plus précieuse encore, de grâce et de sainteté.» 


1951: Le cardinal Ch. JOURNET, "L'Église du Verbe Incarné", Desclée de Brouwer, 11, pages 505-506.

 


D’un prêtre :

« Suis-je prêt à répondre à l’appel du Christ et à le suivre dans le quotidien de ma vie, pauvre, humble, doux, chaste et disposé à être méprisé et regarder comme inutile aux yeux des autres, à l’exemple du Christ. Tout dans notre vie est ordonné à cela, si en vérité nous cherchons le Seigneur. »

 


Saint Paul dans la lettre aux Ephésiens 4, 1,

nous dit :

« Je vous exhorte donc, moi le prisonnier dans le Seigneur à mener une vie digne de l’appel que vous avez reçu ».

En effet, persuadée que mon Maître, mon Seigneur m’apprendrait, je n’avais plus aucune peur de répondre à un tel Appel !

Seigneur, pourquoi Tu me choisis ? Tu sais bien que je ne suis qu’une pauvre femme !

 


Aussi, vais-je m’appuyer sur le dialogue que Jésus a eu avec Thérèse d’Avila 

(je viens chercher des pauvres petites femmes auprès de qui je trouve du repos et avec qui je traite de mes intérêts).

 


L’Esprit Saint prend des incapables pour en faire des capables, me dira un prêtre charismatique ! Mais en réalité, c’est Marthe Robin qui l’a prononcé.

 

 

Les Saints nous enseignent : Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582) 

« Elle est devenue, en 1970, la première femme proclamée Docteur de l'Église.

Sainte Thérèse d’Avila ne pense qu’à Dieu et ne s’occupe que de Dieu. Elle dirige tout à la gloire de Dieu et au bien spirituel des âmes… Toute son ambition est de se perfectionner chaque jour et de grandir dans la vertu.


Elle dit un jour à Dieu : » Seigneur, n’y a-t-il pas d’autres personnes, en particulier des gens de doctrine ? »

 

Dieu répondit : « Dès lors que des gens de doctrine ne veulent pas se disposer de traiter avec moi, je viens comme quelqu’un qui est dans la nécessité et rejeté par eux, chercher des pauvres petites femmes auprès de qui je trouve du repos et avec qui je traite de mes intérêts. »

 

Jésus lui dit encore : « Le démon ne pouvait pas donner ce contentement, cette joie intérieure, ni cette joie spirituelle. De même, le démon ne pouvait pas produire cet amour et ce progrès dans la vertu ».

(Citation de Thérèse d’Avila). »       

Le discernement des esprits par le R.P. L.M. Barrielle, C.P.CR-V. Pages 47 et 48.



Dans la rencontre avec la Samaritaine, Jean, 4, 1 à 42,

les disciples s’étonnent que Jésus parle à une femme. Jésus regarde la personne, comme Marie a regardé Bernadette à la grotte de Lourdes. Ce regard va transformer sa vie, ce regard que Jésus a posé sur moi, a transformé la mienne. Jésus va venir chercher comme pour la Samaritaine ce qu’il y a de meilleur.


Il nous dit : « ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. Matthieu 9, 12.» Je remercie Dieu d’être une de ces pauvres petites femmes !


Pourquoi choisis-tu toujours les tout-petits parce qu’ils ont l’audace de répondre OUI à ton appel d’Amour pour Toi et nos frères et sœurs, parce qu’ils savent prendre des risques pour Toi ? Et tu passes encore par une femme !

« Les saints ne sont pas des héros qui survolent l’humanité, ni des stars qui brillent plus qu’ils n’éclairent, mais des hommes et des femmes comme nous qui nous aident à entrer dans cette ardente amitié qu’ils ont pour le Christ. Ils nous font retrouver la joie d’être aimé de Dieu.


Jacques Gauthier lu sur un calendrier d’Eglise 2014-2015 »




L’abbé Berthault Augustin, un petit cousin du côté paternel  


Source : Plaquette éditée pour le 45ème anniversaire de la Libération des camps de concentration – 1945-1990. Témoignages vécus de déportés du Cher. (AMRDC). Autorisation à publier le 10 avril 2015 par la direction des archives départementales du Cher m’indiquant que je peux faire référence à des documents mis en ligne par le musée de la Résistance et de la Déportation. Leurs sites : www.archives18.fr courriel : direction.archives@cg18.fr


est arrêté par la Gestapo le 8 décembre 1942 et déporté au camp de Sachsenhausen (Oranienburg) puis Bergen-Belsen (04.02.44). Décédé en mai 1945 dans ce camp, alors libéré depuis le 15.04.45 mais non évacué.

[…] Il exposait des sujets religieux et sociaux de toute sorte, y joignait un commentaire optimiste de la marche des événements et donnait à tous de réconfortantes paroles. « Il nous subjuguait » dira plus tard l’un d'entre eux.

Que d’absolutions clandestines il distribua, que d’âmes torturées auxquelles il redonna la paix, parfois même la nuit, au cours de laquelle il se rendait à l’infirmerie, en rampant à quatre pattes, au péril de sa vie ! […] il sut faire relever la tête à ses malheureux compagnons et leur faire tourner les yeux vers le Ciel.

Vers le 20 janvier 1945, il put clandestinement célébrer l’Eucharistie.

 

« Les sœurs de la Visitation […] ont reçu la mission […] d’aimer et faire aimer l’Amour. »

 

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