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9ème : L’Enfer existe et il n’est pas vide, j’ai rencontré de célèbres âmes damnées dans des corps d’humains vivants.

Dernière mise à jour : 24 mai



1.Dieu m’a fait la grâce de m’appeler à une mission particulière de « sauver la vie à un peuple nombreux » que vous pourrez lire dans mes  ouvrages  dont « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu » et il m’avait été donné plusieurs versets bibliques dont le livre d’Esther le 8 janvier 2010 afin que j’intercède pour le salut des âmes.


2.Comme un grand saint que j’apprécie beaucoup, saint Pio de Pietrelcina, je dois prier pour le salut des âmes et la gloire de Dieu et j’ai reçu « le combat de la souffrance », « le combat du mal et de la justice » et « le combat de la prière »[1].

 


3.En novembre 2016, L’Esprit Saint continuait de me gâter et me donnait un nouveau charisme :


« Alerter les grands pécheurs ! »

 

Je ressentais les parfums de merveilleuses roses qui exhalaient en trois lieux différents et à trois moments particuliers à plusieurs jours d’intervalle dans une église (la même) et avec le même prêtre comme si je me tenais dans un grand parterre de roses où leurs fragrances embaumaient.

 Cette senteur était délicieuse. Les parfums de ces roses m’envahissaient avec délices. Et je les respirais aussi avec bonheur, en présence du prêtre, dans le confessionnal. J’en ai fait part au prêtre que je connaissais, surpris comme moi de la présence de ces parfums, mais je n’ai pas compris ce que le Seigneur voulait me montrer, bien qu’agréablement étonnée devant une telle senteur.

Ce charisme m’a été donné pour un prêtre et en présence d’un prêtre parce que je me trouvais en face d’un grand pécheur. Beaucoup plus tard, je connaîtrai le problème de ce prêtre. Tout ce qui est caché, un jour est dévoilé.

 Je contactais mon père spirituel et lui confiais pour qu’il m’éclaira et en effet, il m’a expliquée que Benoîte Rencurel (Sanctuaire de Notre Dame du Laus) avait eu un charisme similaire « d’alerter les grands pécheurs » par des fleurs qui embaumaient. 

Ce n’est pas la première fois que l’on me parlait de Benoîte Rencurel. Un prêtre exorciste avait comparé mon charisme à celui de Benoîte Rencurel.

 

      

4.Et le 30 novembre 2018, sortait un livre sur l’Enfer, à la demande de l’Esprit Saint qui m’a priée d’écrire sur l’Enfer, « Passeport pour l’Enfer si tu t’enfonces dans la boue de l’impureté ![2]»

Puisque ceux qui commettent l’impureté, particulièrement les clercs, à leur mort, prennent aussitôt le chemin de l’Enfer !

 

4a.Saint Paul remarqua qu’à la suite de communions sacrilèges : 

« Voilà pourquoi il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes, et que bon nombre sont morts. » (1 Cor 11, 30). 

 

4b.Combien de sectes pernicieuses œuvrent-elles aussi dans l’Eglise Catholique à la détruire, leurs adeptes ayant fait le sacrifice de leur corps, leur âme et leur esprit à Lucifer ?

 


4c.Apocalypse 21, 8 : Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l'étang ardent de feu et de soufre : c'est la seconde mort. 


[1] Editions Croix Du Salut. www.editions-croix.com  « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu « le combat de la souffrance » page 159, « le combat du mal et de la justice » page 157, « le combat de la prière » page 157.

 [2] Editions Croix du Salut. 30 Novembre 2018.



5.Livre Sagesse de Salomon 3, 1

Les âmes des justes sont dans la main de Dieu. Et nul tourment ne les atteindra.


6.De Jésus à sr Josefa Menéndez[1]

« Le péché est une offense faite à la Majesté infinie, il appelle un châtiment et une réparation infinis. » 3ème livre.

 

7.Dans mon troisième livre "Les Anges dans la Bible 3.2 La chute des anges". 

En s'appuyant sur Apocalypse 12.4 où il est dit que la queue du dragon entraîna le tiers des étoiles du ciel et les jeta sur la terre, certains pensent que Lucifer entraîna le tiers des anges dans sa révolte. Ce qui est certain, c'est que Satan dispose de nombreux anges déchus. La Bible parle clairement du dragon et de ses anges (Apoc 12.7) ou encore du feu éternel préparé pour le diable et ses anges (Matt 25.41). 2 Pierre 2.4 et Jude 6 nous parlent de ces anges qui ont péché, qui n'ont pas gardé leur dignité, qui ont abandonné leur propre demeure (cf. Gen 6). 3.3 Pas de salut pour les anges déchus Ce fait est aussi un des mystères de la Bible. Dieu a prévu le salut de l'homme pécheur ; il n'a pas prévu celui des anges révoltés. Pourquoi? Peut-être parce que Adam et Eve ont été séduits par un être ayant lui-même péché, tandis que les anges sont tombés alors que le péché n'était pas préexistant : ils n'ont donc pas pu être séduits. Leur état de pécheur ne peut être modifié ; leur péché ne peut être pardonné ; aucun salut n'est possible pour eux. 3.4 Un conflit permanent Peu de gens sont conscients de la part considérable que prennent les forces angéliques dans les événements terrestres. Daniel révèle très dramatiquement le conflit acharné qui oppose constamment les anges fidèles à Dieu aux mauvais anges soumis à Satan (Dan 10.10-14). Ce conflit invisible, spirituel, est sans rémission. Partout où Dieu œuvre, les forces sataniques attaquent ; là où les anges accomplissent leur mission divine, les démons se déchaînent. Les puissances des ténèbres contre-attaquent dans l'espoir de reconquérir le terrain tenu pour la gloire de Dieu. Satan peut sembler vainqueur quand il lui arrive de gagner d'importantes batailles, mais l'issue de la guerre est certaine. Cette guerre n'est pas seulement entre les anges et les démons, mais aussi entre les démons et les rachetés du Seigneur ; en un mot, c'est toujours la guerre de Satan contre Dieu. L'apôtre Paul, en 2 Cor 10.4, dit que les armes de notre guerre ne sont pas charnelles, mais divinement puissantes (ou puissantes par Dieu) pour la destruction des forteresses... La Bible nous présente : • 2 royaumes : celui de Christ et celui du diable (Jean 18.36 ; Matt 12.26) ; • 2 familles : les enfants de Dieu et les enfants du diable (1 Jn 3.10) ; • 2 services : celui de Christ et celui du diable (Gal 1.10 ; Jean 8.44 ; Rom 6.16 ; Matt 6.24).

source  https://feusurlaterre.fr.gd/LES-ANGES-DANS-LA-BIBLE.htm  pouvant relever ce qui m’intéresse dans son site le 12/11/2018. 3ème livre

 

7a.Suite "Les Anges dans la Bible 4.2.3 Les anges qui sont en liberté ou démons." Les Evangiles contiennent plusieurs exemples de personnes possédées, c'est-à-dire de personnes dans lesquelles habitaient un ou plusieurs démons. Ils sont souvent appelés "esprits immondes" (ou Impurs). Ils sont les agents malfaisants de Satan (Marc 5.2-5 ; Matt 12.45). Il semble que leur plus cher désir soit d'entrer dans un corps humain et de satisfaire leurs convoitises au travers de la personne possédée. Ils peuvent provoquer toutes sortes de maladies (Matt 9.32 ; 12.22 ; 17.15). Ils peuvent parler en se servant de la voix de leur victime (Marc 1.23 ; Matt 8.29). Les démons peuvent être chassés par les disciples du Seigneur (Matt 10.1), mais il faut toujours la foi, et quelquefois le jeûne et la prière (Matt 17.19-21). Ils sont appelés "anges de Satan" (Matt 25.41 ; Apoc 12.7-9).

https://feusurlaterre.fr.gd/LES-ANGES-DANS-LA-BIBLE.htm pour relever ce qui m’intéresse dans son site le 12/11/2018. 3ème livre

 


8.« Jésus donne aussitôt la première preuve de la Toute-Puissance de sa Parole, confirmant ainsi son autorité divine.

 

Un possédé se met à crier à haute voix : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais fort bien qui tu es : le Saint, le Saint de Dieu. » C’est-à-dire, es-tu venu pour diminuer et détruire notre puissance de nuire aux hommes, et pour nous tourmenter ? En effet, le démon, excité par l’envie, est affligé de voir l’homme écouter et suivre Jésus pour vivre et mourir dans la grâce divine, et ainsi opérer son salut.

 

Voilà pourquoi la doctrine de Jésus-Christ, remède et salut des âmes, le faisait souffrir et crier. Ce que le démon appelle sa perte, c’est la nécessité de sortir de celui qu’il possède. Car les démons, menteurs et séducteurs, tourmentent sans pitié les hommes et croient souffrir eux-mêmes quand ils ne les molestent pas. Le démon croit fermement que Jésus est le Saint de Dieu, c’est-à-dire le Christ envoyé pour le salut des hommes.

 

Par les prophéties relatives au Messie, qui déterminaient le temps, le mode et le lieu de sa venue, et par les autres circonstances, les démons savaient qu’il était le Christ promis dans la Loi et les Prophètes, mais ils ne savaient pas qu’il fût Dieu ; et Satan lorsqu’il tenta Jésus-Christ dans le désert, ne put découvrir s’il était le Fils de Dieu par nature, quoiqu’il l’eût éprouvé trois fois dans ce but.

Si les démons en effet n’avaient pas ignoré qu’il fût Dieu, ils n’auraient pas poussé les Juifs à le mettre à mort, comme saint Paul l’atteste en disant : « S’ils l’avaient connu, ils n’auraient jamais crucifié le Seigneur de gloire. » (1 Cor 2, 8). »

 

« Une Parole de Jésus suffit, et le possédé est libéré des chaînes du démon. Le Seigneur ordonne au démon de se taire, pour l’empêcher de mêler le mensonge à la vérité, et afin de ne pas paraître réclamer son témoignage, surtout lorsque les Pharisiens l’accuseront de chasser les démons au nom de Béelzébul.

 

Nous trouvons ici une salutaire leçon : les démons, n’étant pas restés fidèles à la vérité, sont des êtres trompeurs que nous ne devons pas croire, quand bien même ils nous diraient la vérité ; parce que s’ils trouvent des hommes qui les croient, ils mêlent le mensonge à la vérité et font servir la vérité à accréditer le mensonge ; car, en disant des choses vraies, ils s’efforcent d’induire les hommes crédules en diverses sortes de péchés et d’erreurs, comme l’idolâtrie, l’apostasie, l’hérésie ou le schisme. »

 

« Cette tactique du diable est de tous les temps. Les ennemis de la vérité et de l’Église, les fauteurs d’hérésies sous l’apparence d’agneaux, mais en vérité de vrais loups, suivent ce même procédé.[2] »


 [1] Ces lignes sont extraites du livre "un Appel à l'Amour" page 240 diffusé par l'Œuvre du Sacré-Cœur, les Feuillants, 86000 Poitiers.

[2] Un cadeau d’un Prêtre ! Issu du livre « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu » éditions Croix du Salut, 2017.


 

9.Dans un corps humain, les présences ne sont pas uniquement des démons !

 Des prêtres exorcistes de renommée mondiale comme P.Meinrad Hebga, Padre Fortea et Dom Amorth l’affirment et moi aussi.

 

Dans un corps humain, on peut découvrir :

1 un ou plusieurs démons ;

2 l’envoûtement d’un être vivant que j’appelle esprit humain vivant ;

3 une ou plusieurs âmes errantes ;

4 une ou plusieurs âmes damnées ;

5 un ou plusieurs génies bienveillants ou malveillants ;

6 un ou plusieurs animaux ;

7 un ou plusieurs oiseaux ;

8 une chimère ou une cybride ou une hybride ;

9 un démon ou plusieurs démons transformés en animaux ;

10 un ou plusieurs esprits humains vivants transformés en animaux; tel que le P. M. Hebga l’a décrit ! [1]

11 une ou plusieurs âmes damnées transformées en animaux.

J’ai déjà rencontré tous ces cas dans l’exercice des charismes.

 

C’est à partir de ce moment-là que j’ai contacté les prêtres exorcistes africains ou lu leurs livres. Mais je ne travaille pas comme un prêtre exorciste, en priant une prière d’exorcisme.

La prière est écrite après l’écoute de la personne et en priant en langues, les grandes bases (prière de protection, les prières d’Eglise, prière de fermeture des portes, prière de purification) sont issues de mon livre de formation de MacNutt, voire de prêtres exorcistes, mais le corps du sujet est donné par le Seigneur, grâce au discernement direct des esprits, un charisme infiniment précieux et le parler en langues et les autres charismes, odeurs, etc… et je note toutes les motions charismatiques  reçues de l’Esprit Saint. 

Plusieurs écoutées et des prêtres puisque j’ai prié pour des prêtres, certains avaient des diplômes de théologie (nous avons tous besoin de prières de libération), ont souligné la connaissance que je pouvais avoir sur certains sujets comme la sorcellerie, les sectes anti-chrétiennes, le culte du vaudou, grâce à Notre Seigneur. Les livres du P.Meinrad Hebga (prêtre exorciste de renommée mondiale) me sont fort utiles. J’ai déjà plus de quatorze années d’expérience dans cet apostolat.


Comme Dom Amorth, il m’est arrivé de prier les dimanches et jours de fêtes, Noël et Pâques ! Tout ce que j’ai reçu de Notre Seigneur, c’est comme de l’or ! Un trésor précieux à garder précieusement ! Et l’Esprit Saint, par motion, m’encourage à relire régulièrement les nombreuses motions qui m’ont été données pour éviter d’oublier.

 

10. En 2019 et 2020, j’ai aussi prié pour des personnes possédées. 

 

De 2012 à 2021, j’ai prié dans six services d’exorcisme pour les aider à finir des cas difficiles et, ou j’introduisais des personnes qui avaient besoin de prêtres exorcistes fiables qu’elles ne trouvaient pas dans leurs diocèses.


Un prêtre exorciste m’écrivit que « j’avais un charisme particulier ». « Un charisme ne s’explique pas. C’est un don de Dieu. […] », m’informait-il.

 

11.D’une dame accueillie :

« J'ai été très secouée par ses prières de libération : aux mots d’occultisme, spiritisme, avortement, j'ai reçu des courants glaciaux qui me parcouraient intérieurement et des fourmillements dans les jambes, les bras, des vertiges.

C'était très net et par vagues qui me saisissaient intérieurement à chaque invocation. J'avais les mains moites… 

La Croix de Jésus posée sur moi était chaude à l'endroit du cœur de Jésus ! J'ai fini complètement courbée sur la Croix de Jésus... »

 

12.Et ces envoûtements particuliers, ces cas d’envoûtement par une personne vivante ou par une personne morte, un génie, un totem, un animal sont nombreux en France et toutes mes motions charismatiques furent confirmées par les livres de prêtres exorcistes mondialement connus.


Ma formation en 2010 était basée sur le livre de Francis MacNutt « la délivrance pour aujourd’hui[2]. »

 

13.Mgr Tournyol du Clos (exorciste). Le Combat avancé de l’Église, une approche pratique de l’exorcisme, 2022 (5° édition des « Amis de l’Archistratège »), 


LES ÂMES MAUDITES 

On ne parle pas ici des âmes damnées dont peuvent se servir les démons, mais de certaines âmes qui semblent, là encore, freinées dans leur travail de purification personnelle. Pour six raisons au moins :

- Quand elles ont été objet de malédiction ou de blasphème, même après leur décès[3] , notamment de la part de leurs proches.

- Quand elles sont mortes dans un état de désespérance profond, ce qui est le cas des suicidés.

- Quand elles ont été surprises par une mort violente, sans avoir eu le temps de se ressaisir : guerre, bombardements, accident d'auto, homicide, etc.

- Quand elles n’ont pas eu de funérailles, ou dont la disparition n’a pas été pleurée.

− Quand on a volé leur mort par le crime de l'euthanasie. 

− Quand leurs restes mortels ont été maléficiés pour servir à des rites magiques.

Ces âmes auxquelles souvent personne ne pense ont absolument besoin de prières et tout particulièrement de messes. Cet acte de grande charité profite à tout le Corps Mystique de l'Église, mais en particulier à leurs descendants (directs ou indirects) qui peuvent ainsi être guéris d’un grand nombre de maladies et de troubles pathologiques dont la cause profonde est à rechercher dans ces « liens ancestraux »[4].

 

14.Don du discernement des esprits : 

(Jean Pliya. Des Ténèbres à la Lumière…osez prier pour la délivrance, Saint Paul, éditions religieuses, France, 82 rue Bonaparte – 75006 Paris. 2002. Page 122. Pierre Téqui Editeur.»)


« L’un des dons que le Saint Esprit nous donne pour construire la communauté chrétienne est la capacité à discerner les esprits. Ce don est le septième des neuf manifestations spirituelles énumérées par Paul dans 1 Corinthiens 12, 8-10.

 

[…] Ce don nous permet de distinguer si une personne (ou ses actes) est influencée par :

• Le Saint-Esprit

• Des causes naturelles […]

• Un esprit mauvais. Page 84.

 

[…] La capacité de déceler la présence d’un esprit mauvais ;

La capacité, en plus, (à un niveau plus élevé) de connaître son identité (de l’esprit mauvais) ou de le nommer. Page 85.

 

[…] Beaucoup de gens souffrent d’infestation démoniaque. Il y a un manque énorme dans la pastorale parce que la plupart des Eglises ne s’occupent pas de la question. Page 88.

 

Plusieurs étapes […] Recevoir l’effusion de l’Esprit Saint.  La puissance de l’Esprit Saint nous rend plus efficace dans le ministère de délivrance. Elle nous procure ces charismes indispensables […] comme le charisme de guérison et celui du discernement des esprits. Page 89 »

 

 [1] Dans le livre « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu », chapitre 4. Editions Croix du Salut. 23 Mai 2017.

[2] Guide pratique. 2008. ©Editions Bénédictines.

[3]Blasphémer les morts : cette pratique, encore très répandue en Campanie (comme en Afrique du Nord), peut avoir été héritée des anciens romains qui insultaient les dieux lares de leurs ennemis.

[4] On se reportera aux travaux du Docteur Kenneth MCALL, auteur du Guide de la Guérison de l'Arbre Généalogique, 1999, Éditions Bénédictines, rue Émile-Guinnepain, 36170 Saint-Benoît-du-Sault.



15.Je vous recommande de vous procurer le livre de Mgr Tournyol du Clos « Peut-on se libérer des esprits impurs ? Un guide pratique vers la délivrance ? » Editions l’Archistratège. Livre indispensable.


En cinquante paragraphes, Mgr Tournyol du Clos nous explique la stratégie du combat spirituel dans sa première partie.

Peut-on dire que Dieu veut que les démons tourmentent les hommes ? […] « Ce sont les hommes qui, par leurs péchés, ouvrent les portes aux esprits impurs ; Dieu a créé les hommes libres et Il respecte leur liberté même quand ils en usent mal. »

 

Quels sont les péchés qui ouvrent les portes aux esprits impurs ? « Les péchés mortels ouvrent les portes aux esprits impurs. »

 

Dans le numéro 27, vous découvrirez les pratiques qui sont à l’origine des liens maléfiques : l’avortement, les sectes, les techniques orientales, les fausses religions, les médecines d’origine extrême orientale, les sciences occultes : la magie noire, la magie blanche, le spiritisme, la divination, la voyance, la superstition, les recettes ou préparations occultes, la fréquentation des lieux empoisonnés. […]

 

 

16. Une âme damnée dans un corps humain vivant bloque la prière de libération, je les chasse systématiquement, parce qu’il y en a très souvent.

 

Une autre jeune fille après avoir vu un mauvais film était squattée par une âme damnée qui lui disait :

« t’es bête », plusieurs fois par jour alors que c’est une brillante élève. Le médecin a eu l’honnêteté de dire qu’il n’avait jamais vu un cas pareil.

Heureusement, la famille me connaissait et dès que j’ai cité une prière de la Vierge Marie, l’âme damnée s’est manifestée et je l’ai chassée au Nom de Jésus !

 

17.Quand Satan avoue : « Elle marche toujours à vos côtés »


Le Vendredi Saint de l’année 2006, tandis qu’un exorciste exerçait son ministère en lisant, dans l’Évangile de Jean, les paroles que Jésus sur la croix adressa à Marie, « Femme, voici ton Fils », et à Jean, « Voici ta Mère », le diable s’exprima ainsi : « En un instant, Elle a aimé tous ses fils pour toutes les générations et elle a dit son deuxième "oui". Après le "oui" dit à l’Ange, elle a dit "oui" à son Fils sur la croix pour que vous deveniez ses fils. »

L’exorciste, alors partagé entre la stupeur et la joie, car il comprenait que le diable était visiblement obligé de dire, malgré lui, des choses qu’il n’aurait jamais voulu dire, continua à lire les paroles de l’Évangile : « Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. » Alors le diable, avec un effroyable dégoût qui se manifestait dans sa voix et ses attitudes, ajouta : « Les âmes pures prennent la Mère de Dieu dans leur cœur. Votre corps et votre esprit sont la maison du Seigneur et c’est là que vous devez La prendre. Tous les enfants de Dieu devraient accueillir en eux Marie et tout ce qu’Elle vous a enseigné par sa vie. Vous avez un grand appui qui est Marie, utilisez-le davantage. Priez-la, priez-la davantage, faites-la vôtre, Elle marche toujours à vos côtés. »

Devant ces propos du diable prononcés pendant qu’il exorcisait, le prêtre, sachant que le Vendredi Saint est un jour spécial de grâce, lui rappela le sacrifice de Jésus sur la croix par amour pour nous, ses plaies, son sang, ses souffrances, ses humiliations, son offrande au Père, ainsi que les larmes et les souffrances de Marie au pied de la croix et son offrande en union avec son Fils au Père, par amour pour nous. Tandis qu’il disait toutes ces choses, le diable poursuivit en affirmant, à la grande stupéfaction de l’exorciste qui écoutait : « Nous étions là, nous aussi, au pied de la croix, à en dresser certains contre Lui, nous les poussions à L’accuser, à crier contre Lui, à Le défier, et nous tentions les autres en leur insinuant le doute dans leur esprit sur le fait qu’Il n’était pas le Messie en réalité. »

Francesco Bamonte

Extrait de Possessions diaboliques et exorcisme - Comment reconnaître le trompeur malin


Prions:

Je vous salue Marie, pleine de grâce ;

Le Seigneur est avec vous.

Vous êtes bénie entre toutes les femmes

Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.

Sainte Marie, Mère de Dieu,

Priez pour nous pauvres pécheurs,

Maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen



18.Laissons Notre Mère nous apprendre à nous offrir à Dieu… par la lecture d’une lettre spirituelle de Dom Antoine Marie osb, abbé de l’Abbaye de saint Joseph de Clairval.[1]

« […] Après avoir fortifié les enfants par la promesse inestimable du Ciel, la Dame les introduit dans le mystère de la Rédemption auquel, avec une exquise délicatesse, elle leur demande de s'associer:

«Voulez-vous vous offrir à Dieu pour faire des sacrifices et accepter volontiers toutes les souffrances qu'Il voudra vous envoyer, en réparation des péchés qui offensent sa divine Majesté?

Voulez-vous souffrir pour obtenir la conversion des pécheurs, pour réparer les blasphèmes ainsi que toutes les offenses faites au Cœur Immaculé de Marie? – Oui, nous le voulons! répond Lucie. – Vous aurez beaucoup à souffrir, mais la grâce de Dieu vous assistera et vous soutiendra toujours».

Tout en parlant, l'Apparition a ouvert les mains, et ce geste répand sur les voyants un faisceau de lumière mystérieuse, qui pénètre leurs âmes, en sorte qu'ils se voient eux-mêmes en Dieu.


Le 13 juillet suivant, la Sainte Vierge dévoile aux yeux des enfants une terrifiante réalité:

«Notre-Dame nous montra une grande mer de feu, qui paraissait se trouver sous la terre et, plongés dans ce feu, les démons et les âmes, comme s'ils étaient des braises transparentes, noires ou bronzées, avec une forme humaine. Ils flottaient dans cet incendie, soulevés par les flammes qui sortaient d'eux-mêmes, avec des nuages de fumée. Ils retombaient de tous côtés, comme les étincelles retombent dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, avec des cris et des gémissements de douleur et de désespoir qui horrifiaient et faisaient trembler de frayeur. Les démons se distinguaient par leurs formes horribles et dégoûtantes d'animaux épouvantables et inconnus, mais transparents et noirs.

Cette vision ne dura qu'un moment, grâce à notre bonne Mère du Ciel qui auparavant nous avait prévenus, nous promettant de nous emmener au Ciel. Autrement, je crois que nous serions morts d'épouvante et de peur.

Ensuite, nous levâmes les yeux vers Notre-Dame, qui nous dit avec bonté et tristesse:


"Vous avez vu l'Enfer, où vont les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si l'on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d'âmes seront sauvées et l'on aura la paix»». […] "



19.Qu’est-ce que l’Enfer ? Par Fr Paul Martin[2]


« Du latin inferus, ce mot signifie ce qui est inférieur, ce qui est en bas. Mais ce mot donne lieu à plusieurs interprétations. […] Mais il nous faut ici distinguer l’enfer des enfers.

D’abord les enfers qui sont le shéol hébreu désignant le séjour des morts et traduit en grec par Hadès, traduisent un lieu obscur, ténébreux où on ne voit rien, on ne chuchote pas. C’est un abîme immense dont Dieu seul a la connaissance ; il est fermé comme une prison (Is 24, 22),  fait de poussière (Is 26, 19) et remplis de vers (Is 14, 11). Les enfers se présentent comme l’antithèse de la terre des vivants car on n’y loue pas Dieu (Ps 115, 17).

L’enfer par contre est identifié à la géhenne (Mc 9, 44), au feu (Mt 5, 22), à la fournaise, au feu éternel (Mt 18, 8 ; Ap19, 20, Ecclésiastique 21, 9-10) ;  Ap 20, 14 le présente comme un étang de feu mais aussi comme la seconde mort (Ap 21, 8).


Mais dans tous les cas ces deux termes renvoient au royaume de la mort. À partir de là, les Pères de l’Eglise vont définir l’enfer comme un feu inextinguible. Cependant Clément d’Alexandrie et Origène vont plutôt inviter à interpréter le feu d’une façon métaphorique. Pour Clément d’Alexandrie ce n’est pas un feu qui dévore le corps mais plutôt l’âme. Il identifie donc le feu au regret que l’on éprouve comme étant le plus grand supplice des chrétiens pour les péchés commis après le baptême (Stromat VII, 6). Par contre pour Origène, si l’enfer existe il serait temporaire car Dieu qui est Amour ne peut supporter de voir ses enfants souffrir éternellement dans un feu qui les dévore. Cette affirmation conduira l’Eglise, en 543 au synode de Constantinople, à déclarer anathèmes tous les origénistes qui affirment que l’enfer est temporel.


Remarquons tout de même qu’aujourd’hui ce mot est très peu utilisé dans les homélies dominicales car pendant plusieurs siècles, l’enseignement religieux en a usé et abusé pour des menaces de damnation au point que la vie chrétienne a fini par être conduite plus par la peur que par l’amour


-L’enfer à travers les conciles et les siècles de l’Eglise : Finalement c’est une vérité de foi que la peine de l’enfer est éternelle car la Bible n’est pas du tout précise sur cette notion ; elle affirme parfois que chacun sera payé selon ses œuvres (Rm 2, 5-7) ; Mt 25, 31-45 (sur la venue eschatologique du Christ) affirme l’existence d’un enfer caractérisé par la privation de la vie et du bonheur de Dieu. C’est ce qu’on appelle la peine de dam d’où le mot la damnation. Mais on se réserve de définir un lieu et la nature de la souffrance. L’Eglise catholique va, quant à elle, se prononcer sur la notion à partir des références bibliques.


Le quatrième concile de Latran en 1215 reprendra l’affirmation du symbole de st Athanase « ceux qui auront fait du bien iront pour la vie éternelle et ceux qui auront fait du mal iront au feu éternel ». Également, le deuxième concile de Lyon, en 1274, affirme que tous ceux qui meurent en état de péché descendent directement en enfer ; et le pape Benoit XII en 1336 déclare dans Benedictus Deus « nous affirmons que, selon l’ordination commune de Dieu, tous ceux qui meurent en état de péché mortel descendent aussitôt en enfer après la mort ».


Mais ce qui est sûr, si l’enfer est certain, la miséricorde de Dieu l’est encore plus. Disons que le Christ en parle avec les images utilisées en son temps (feu, géhenne…) et donc ces images ne sont pas des reportages sur les réalités auxquelles elles renvoient, c’est-à-dire sur l’au-delà. Mais il utilise une pédagogie visant à mettre chacun en garde contre un échec éternel. Le risque est inhérent à la vie humaine car l’homme est libre de refuser la plénitude de la vie et du bonheur offert par Dieu pour l’éternité d’où l’appel pressant du Christ à ne pas passer à côté de sa vie mais à la prendre au sérieux et à la fonder sur l’amour dont lui-même est le témoin et le chemin. Mais l’humanité à trop vite laissé courir l’imagination au point d’imprégner la vie chrétienne de la peur qui en est devenue le moteur au détriment de l’amour qu’elle annonce. Pourtant, nul ne sait avec certitude ce que sera cette vie privée de Dieu, il n’y que l’imagination. Et cette insistance sur la réalité de l’enfer n’a pas été sans conséquence.


Notamment après les grandes guerres, on est arrivé à penser l’enfer comme une invention de la classe dominante pour défendre leurs intérêts ou comme le fruit d’une mentalité infantile entachée de mythes et aujourd’hui dépassée car, si Dieu est vraiment amour, l’enfer n’existerait pas dit-on.


Cependant, si l’enfer n’existe pas, nous ne sommes pas libres, car nous ne pourrons pas dire oui ou non à Dieu en toute liberté. Nous savons quand-même que dans la conception chrétienne, il y a incompatibilité entre Dieu et l’enfer qui est le contraire de la volonté de Dieu et le fruit de la liberté humaine qui refuse de partager la vie de Dieu. Notons donc que si Dieu est absolument amour et pureté, s’il respecte dans toutes ses dimensions la liberté humaine, alors l’éventualité de l’enfer est bien vraie. Comme l’affirme Marcel Jouhandeau : « là où je suis, là est ma volonté libre et là ou est ma volonté libre, l’enfer existe en puissance.


Si l’homme ne comprend pas l’enfer c’est qu’il ne comprend pas sa propre réalité »[3]. Dans le même sens, le père François Varillon écrit : «  si Dieu est amour, l’éventualité de l’enfer est réelle. Si vous niez l’enfer ayez le courage de dire que Dieu n’est pas amour… »[4]


Ce qui est sûr, nous le savons, le salut est l’œuvre d’amour de Dieu ; on juge l’enfer selon les maximes de ce monde alors qu’il n’est pas de ce monde. « L’enfer c’est de ne plus aimer, écrit Georges Bernanos, ne plus comprendre mais vivre quand-même. Ô prodige ! » [5] Dieu est amour, or l’homme peut vouloir ne pas aimer, c’est cette responsabilité, nous dit Sesboüé, qu’énonce l’idée de l’enfer. « L’enfer est une possibilité réelle pour chacun de nous si notre liberté refuse Dieu de manière définitive. »[6].  


L’enfer c’est donc dire non, définitivement, à Dieu. Puisque l’éventualité de l’enfer est une vérité de foi,  cela n’empêche pas de croire que tous les hommes peuvent être sauvés. […]


De tout ce qui précède, on peut se demander comment l’humanité en est venue à croire en une résurrection et à une vie éternelle ?  Dans la croyance primitive le grand bien de l’homme c’est la vie et donc la mort est perçue comme une catastrophe. D’où la conception d’une vie végétative dans le shéol puisque la vie n’y est pas totalement finie. C’est alors que le peuple de Dieu va peu à peu évoluer vers l’espérance d’une résurrection.


Mais il se fait que le shéol est un lieu où reposent à la fois les justes et les méchants, les bons et les mauvais, les persécutés et les persécuteurs.  Ils devront être séparés à la résurrection où Dieu va récompenser certains et châtier d’autres ; Ba 51, 10-11 (version syriaque) ; Dn 12, 2 ; 2 Mac 7 – les sept frères martyres- ; Ecc 48, 9-12 -Elie qui est élevé au ciel-. Et si nous nous situons dans le Nouveau Testament, Jésus annonce le Royaume de


Dieu non seulement par la parole mais aussi par les gestes qui rendent ce Royaume concret. Exemple : il ressuscite le fils de la veuve de Naïm (Lc 7, 11-17) ; la fille de Jaïre (Mc 5, 21-43) ; Lazare (Jn 11, 1-46). Jésus lui-même a traversé l’épreuve de la mort mais sa résurrection nous projette au cœur même du message chrétien sur le salut de l’humanité. Que faut-il comprendre ?  Jésus en ressuscitant, ne revient pas à sa vie antérieure ; il est ressuscité avec tout lui-même, alors sa résurrection nous annonce la nôtre. Il est donc clair que l’homme sera sauvé avec tout ce qu’il est aujourd’hui. Notre foi, sans pouvoir vraiment définir ce que sera la vie dans l’au-delà, nous convainc que les morts pour le Seigneur s’éveilleront à la joie et à la vie éternelle alors que les méchants s’éveilleront pour la damnation éternelle. C’est une vérité de foi, elle est indubitable ! »[3]


[1] Sur ce traité je ne vais pas faire de commentaire vous pourrez le lire sur internet en entrant Ste Catherine de Gênes, traité du purgatoire.

[2] Bernard Sesboüé, propos recueillis par Martine de Sauto dans la croix des 2-3/11/2002

[3] Encyclopédie catholique pour tous, P 936

[4] François Varillon Joie de croire, joie de vivre

[5]  Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne

[6] Sesboüé, idem


 

20.Le dogme de l’enfer illustré par les faits de François-Xavier Schouppe

 

« Pour se mettre en sûreté contre l’enfer, il faut éviter d’en prendre le chemin, supprimer la cause de la damnation, c’est-à-dire le péché sous toutes ses formes. Les hommes se laissent entraîner à leurs perte par divers liens d’iniquité, tantôt par l’un, tantôt par l’autre. Il en est beaucoup qui meurent dans leurs péchés, parce qu’ils sont privés des derniers sacrements ; et parmi ceux qui les reçoivent, il n’en est pas peu qui se perdent encore, parce qu’ils manquent de sincérité dans l’accusation de leurs péchés. »

« Voici un trait que nous lisons dans les annales du Paraguay sous l’année 1640, […] une femme était morte qui laissait un fils d’environ vingt ans. Ce jeune homme vit sa mère lui apparaître dans l’état le plus affreux. Elle lui dit qu’elle était damnée pour avoir manqué de sincérité au tribunal de la pénitence ; et que beaucoup d’autres étaient damnés pour avoir caché leurs péchés en confession. Et toi, ajouta-t-elle, profite de l’exemple de ta pauvre mère. « 

 

Le P. Nieremberg, […] mentionne encore un autre réprouvé, qui manifesta la cause de sa damnation. Un jeune homme menait une vie chrétienne en apparence ; mais il avait un ennemi qu’il haïssait, et, tout en fréquentant les sacrements, il conservait dans le cœur des sentiments d’inimitié et de vengeance que JESUS-CHRIST ordonne de déposer. Etant venu à mourir, il apparut à son père et lui dit, qu’il était damné pour n’avoir pas pardonné à son ennemi. Après quoi, il s’écria avec l’accent d’une indicible douleur : Ah ! Si toutes les étoiles du ciel étaient autant de langues de feu, elles ne pourraient exprimer combien j’endure de tourments ! […] »[4]                                       

[1] Un extrait des lettres spirituelles de Dom Antoine Marie osb, abbé de  l’Abbaye de saint Joseph de Clairval : Notre Dame de Fatima qui est apparue à trois enfants en 1917.

 

[2] L'article est signé du Fr. Paul-Martin Makawouna TALAKE. Fr. Martin a. a parce qu’il a adopté le prénom Paul en 2014 lors de sa profession perpétuelle comme assomptionniste. Il avait enseigné sur le sujet à des jeunes étudiants en 2014, lui-même étudiant pendant cette année en 3ème année de baccalauréat canonique à l'université catholique de Lille, vu sur le site des assomptionnistes d'Afrique de l'Ouest. Article publié avec son accord dans mon troisième livre.

 


[4] Du site jesusmarie.com avec l’autorisation de son Responsable le 7/11/2018 – creative commons http://jesusmarie.free.fr/francois-xavier-schouppe-le-dogme-de-l-enfer-illustre-par-les-faits.pdf

Le dogme de l’enfer illustré par des Faits et des Révélations Particulières

(Pdf) éditions Desclée de Brouwer et Cie, 1882 - 118 pages

Pages 88 et 89 Crainte salutaire de l’enfer



21.Dans l’exercice des charismes de libération et de discernement direct des esprits, j’ai rencontré des âmes damnées dans les prières de libération.


En 2014, à Pontmain, dans le corps d’une dame possédée, j’ai rencontré l’âme damnée de Judas. Puis, je l’ai emmenée voir un prêtre exorciste sérieux et elle lui a confié. Plus tard, il souligna « alors, Béatrice vous avez rencontré l’âme damnée de Judas », c’était ma première expérience dans ce domaine.

 

Ensuite, j’ai rencontré les âmes damnées de deux Papes, Jean XXIII, et Paul VI, je ne sais plus en quelle année, je les ai citées d’abord dans mon deuxième livre, elles m’ont piquée la première fois, et je les ai retrouvées plusieurs fois dans d’autres prières de libération, Paul VI ayant fait beaucoup de mal, je cite cette âme damnée dans mon sixième livre. Particulièrement à la page 243.

Grâce à Dieu et à la Vierge Marie, j’ai appris à chasser les âmes damnées et à les renvoyer en enfer.


Une âme damnée française qui est "gardienne de l’abus rituel satanique mystique", donné par l’Esprit de Vérité, il y a quelques années.

 

21a.L’origine de l’appel à prier pour les autres : 

je revenais d’un pèlerinage à Lourdes avec des Jeunes et je fus accusée d’avoir traumatisée mon équipe de Catéchèse, ainsi que de l’avoir abandonnée pour aller prier. J’en fis part à une religieuse, sœur Jean-Marie, une religieuse à qui je me confiais. Aussi, sa réponse par lettre fut très belle et me toucha :

« le point de départ de ces reproches serait le temps de prière du jeudi soir où nous nous sommes retrouvés à sept ou huit à la Chapelle à Lourdes. Sans faire de polémique, mais en assurant la vérité, vous n’êtes absolument en rien, dans tout cela. J’en fus témoin et prête à le dire à ceux qui vous en rendent responsable, puisque c’est à moi, d’abord, que la proposition fut faite. Je n’étais pas seule et ce n’est pas par moi que vous l’avez su. Il y a erreur d’interprétation.

Vous reproche-t-on votre zèle apostolique ? Il y en a qui ont été tués à cause de Lui. Vous devez, savoir que, lorsque le Seigneur passe, le Mauvais veut aussi passer.

Un aumônier de la J.A.C., mort prématurément, disait : « A Lourdes, Marie et le Mauvais s’affrontent toujours. »Prions ensemble le Chapitre XVII de Saint Jean, surtout les versets 11 à 26. Souvenons-nous que nous n’avons pas à être servis, mais à servir. Gardons confiance. Malgré tout, le Seigneur nous demande de pardonner. Je vous embrasse et prie pour que la lumière se fasse, sans chercher à contrer ceux désirent, peut-être, votre démission. »

En effet, c’était le but recherché et je me suis retrouvée en 2006 devant un tribunal ecclésiastique composé de l’Evêque diocésain, de la Religieuse responsable diocésaine de la Catéchèse et du Prêtre responsable aussi de la Catéchèse diocésaine. Je n’ai pas eu le droit de me défendre et la preuve de Sœur Jean-Marie n’a pas été retenue parce qu’elle n’était pas du même diocèse que moi !

Et l’Evêque a brandi la menace de l’excommunication. Aussi, je n’ai pas réfléchi longtemps, entre perdre mon honneur et perdre Jésus, j’ai très rapidement choisi, parce que perdre Jésus, c’était inconcevable. […]

Beaucoup plus tard, après m’être garée au parking de la maison diocésaine, après avoir salué le gardien, celui-ci m’a confié « vous étiez trop compétente », ce qui a mis un baume sur cette blessure infligée par des Autorités d’Eglise. J’ai pardonné à tous mes agresseurs, le jour de la Pentecôte.

Choisir Jésus, Dieu le Fils m’a octroyé de nombreuses grâces dont ces charismes. J’ai même offert une indulgence plénière à l’Evêque décédé, mais cela ne lui a pas suffi, parce que sa vie n’était pas conforme à ce que Jésus lui demandait. Je le retrouve dans les prières de libération comme âme damnée !

Une âme damnée française qui est gardienne de l’abus rituel satanique mystique, reçu il y a quelques années, c’était un évêque du Puy en Velay.

 

21b.Et cette âme damnée, je l’ai rencontrée fin janvier 2024, j’avais été prévenue de sa visite, je l’entendais. Elle avait des graves choses à me confier. Maintenant, je vous révèle que c’est l’évêque Brincard, alors qu’un autre évêque l’avait considéré comme un saint ! Mon mari était en poste dans ce département.


Voici ses révélations :


1.« j’ai dit du mal de toi au Puy en Velay », je m’en étais aperçue, mais je ne savais pas que c’était lui. Même les prêtres m’ont tourné le dos ! Je pense qu’il faudrait réparer.


2.« j’ai dit que tu étais coupable si ton mari partait » (quittait le domicile conjugal), alors que mes parents lui avait confié le contraire !


3.« j’allais te faire partir de la catéchèse parce que j’étais jaloux des grâces que tu avais », (le charisme de guérison a été reconnu dans son diocèse) et autres grâces…,


4.« contre la France, je l’ai maudite, je voulais qu’elle tombe, et je l’ai vendue pour rester au Puy », (il avait été nommé archevêque à Tours et il n’a pas voulu partir, je le savais de source sûre), il me semble qu’il faudrait la prière du grand exorcisme dite par un prêtre exorciste, au vu de ce qui se passe en France.


5.« parce qu’il voulait que le Jubilé du Puy dure plus longtemps »,


6. « il a mis la marque de la Bête sur la France pour qu’elle tombe », 


- toutes les ordinations de son diocèse sont invalides et tous les sacrements aussi -


7. «j’ai mis des esprits impurs sur ton mari » parce qu’il a découvert que j’étais comme « mgr Bugnini »,


- je m’étais aperçue qu’il y avait un problème avec cet évêque parce qu’il avait détourné une phrase que la Vierge Marie avait dite à Bernadette : « Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais en l’autre » et il nous avait assurés à Lourdes que « la Vierge Marie avait dit le contraire », ce qui, pour moi, Hospitalière Notre Dame de Lourdes était faux.


Ne priant pas comme un prêtre exorciste, il fallait que je sache la vérité, c’est pour cela que Notre Seigneur a permis que cette âme damnée m’apprenne ce qu’elle avait fait et qui me concernait, mais aussi mon ex-mari et ma famille.


Au Nom de Jésus, j’ai tout brisé, mais si un prêtre exorciste voulait prier une prière d’exorcisme, surtout pour la France.


Et un ou deux jours plus tard, j’ai eu une autre visite, je ne le voyais pas aussi, c’était Satan qui voulait savoir ce que l’évêque Brincard m’avait dit, je n’ai rien répondu et je me suis contentée de le chasser en enfer, bien protégée par la Vierge Marie et tous ceux qui prient au Ciel pour moi.



22.Mais une âme damnée, on ne peut plus RIEN faire pour elle ! 

Un extrait du livre « Passeport pour l’Enfer si tu t’enfonces dans la boue de l’impureté ![1]» :

Jésus a racheté ta vie à un très grand prix, puisqu’Il a versé Son Sang Précieux pour te sauver de la mort et du péché. 

 

« Et toi, tu veux dédaigner ce cadeau inestimable et tu désires aller en Enfer parce que tu ne veux pas renoncer à ta vie de pécheur, à ta vie de péchés d’impureté, à ta vie de faire du mal à ton prochain, à ta vie de rejet de Dieu, à ton refus de pardonner… ! Permets-moi de te dire que tu es inconscient (e), mon frère ou ma sœur que tu sois clerc ou laïc.

 

Mon frère clerc, religieux ou laïc, ma sœur religieuse ou laïque, permets-moi de te dire que, malgré tes études, tes diplômes, tes grades, tu n’as rien compris à la Bonne Nouvelle que Jésus-Christ nous a apportée et nous apporte tous les jours.

 

Relis vite les Evangiles avant qu’il ne soit trop tard.  Rejette l’Enfer au plus vite, ce n’est pas ta place ! Tu vaux mieux que cela ! » 

 


23.« […] La considération des fins dernières est au cœur de l'enseignement du Père Léonard de Port-Maurice »[2]

 

«Considérez, écrit-il, combien il vous importe de parvenir à votre fin dernière. Il y va de tout pour vous ; car si vous y arrivez, vous êtes sauvé, vous êtes éternellement heureux, comblé de tous les biens pour l'âme et pour le corps. Si au contraire vous la manquez, vous êtes perdu, corps et âme, vous perdez Dieu et le paradis, vous êtes éternellement malheureux, damné à jamais.

Voilà donc, entre toutes les affaires, la seule affaire utile, importante, nécessaire: servir Dieu et se sauver. Que maintenant vous perdiez une partie de vos biens, il vous en reste d'autres; que vous perdiez un procès, vous pouvez en appeler; que vous commettiez quelque erreur temporelle, on peut la réparer. Et quand même vous viendriez à tout perdre, qu'importe? Aussi bien, que vous le vouliez ou non, un jour viendra où il faudra tout quitter.

Mais si vous manquez votre fin dernière, vous perdez tous les biens et vous attirez sur vous des maux irréparables pour toute une éternité. 


Que sert à l'homme, dit le Sauveur, de gagner tout l'univers s'il vient à perdre son âme ? (Mt 16, 26). Nous sauver! Voilà notre grande, notre unique affaire.


Quand il ne s'agit que des affaires de ce monde, si vous n'y pensez pas, un autre peut y penser pour vous; mais quant à la grande affaire de votre salut éternel, si vous n'y pensez pas, qui peut y penser pour vous ?


Si vous ne vous en occupez pas avec soin, qui peut prendre ce soin pour vous?

Si vous ne vous aidez pas vous-même à vous sauver, qui vous sauvera ?


Ce Dieu qui vous a créé sans vous, ne veut pas vous sauver sans vous. 

Si vous voulez vous sauver, il faut que vous y pensiez»

(Méditation sur la fin de l'homme). […] »[3]

 

 1]  Editions Croix du Salut 2018

[2] Extrait des lettres spirituelles de Dom Antoine Marie osb, abbé de l’Abbaye de saint Joseph de Clairval  du 6 août 2009, vie de Saint Léonard de Port-Maurice

[3] Surligné par l’autrice.

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