Je vous relate une grande grâce dont j’ai bénéficié, ainsi qu’un témoin, mais qui concerne aussi la Paroisse de Varennes sur Allier.
Extrait de mon deuxième livre « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu » - 329 pages. Editions Croix du Salut, 23 mai 2017.
Cet ouvrage est référencé
« dans la partie F. Ouvrages pastoraux sur l'exorcisme et la délivrance. Revues et livres en français », du livre «Tactiques du diable et délivrances » fruit de la thèse de doctorat en théologie, sorti en février 2018 du Père Jean-Baptiste Golfier chanoine régulier de l'abbaye de Lagrasse. Je lui avais confié un document utile pour sa thèse et pour me remercier, il me cite dans son livre.
La fête de la Croix Glorieuse est chère à mon cœur puisque j’ai eu la grâce de vivre des grâces particulières trois années de suite le jour de la Croix Glorieuse.
Le 14 septembre 2008, une Responsable de monastère m’avisera de grâces de guérison suite à ma prière faite à Lourdes, le jour du voyage du Pape Benoît XVI, confirmation du charisme de guérison, les Piscines de Lourdes étaient fermées en raison de menaces d’attentat.
Le 14 septembre 2009, je prierai à Lourdes dans le cadre de mon service de Piscinière pour la libération d’une personne possédée accueillie pour son bain, annonce du charisme de libération.
Le 14 septembre 2010, je revenais en voiture d’un monastère, une dame m’accompagnait et nous nous dirigions vers Vichy dans l’Allier.
Mon GPS m’avait induite en erreur et nous nous sommes retrouvées sur le rond-point
de Varennes-sur-Allier à 20h15 quand j’ai aperçu sur ma gauche dans le ciel une Croix Lumineuse avec deux barres horizontales, ressemblant à celle de Pontmain.
Puis, la barre horizontale la plus haute s’est estompée. Annonce certaine que la croix fera toujours partie de mon programme de vie !
Quand nous avons aperçu cette merveille, nous avons décidé de faire le tour du rond-point pour chercher une place de parking. Je me suis garée et nous avons admiré cette belle Croix.
Nous ne l’avons pas lâchée des yeux, nous avons prié, loué, remercié et j’ai pleuré avant qu’elle ne disparaisse un quart d’heure plus tard.
Ma voisine l’a prise en photo.
Nous étions la seule voiture à s’être garée.
Etions-nous les seules à la voir ? Je ne sais pas.
Je venais d’apprendre une mauvaise nouvelle dans la journée et ce soir-là, mon cœur pleurait.
Jésus a-t-il voulu me consoler par la vue de cette Croix Lumineuse ?
Les photos m’ont été envoyées via Internet et en les agrandissant, quelle ne fut pas ma surprise de constater que le premier numéro de ma plaque d’immatriculation s’était transformé en 8788, mais juste sur la photo ! J’ai interrogé des amis religieux de différentes communautés.
Ils ont essayé d’analyser ces différents chiffres,
le 7 est le chiffre parfait,
le 8 est le chiffre de la Vierge Marie, m’ont-ils dit, le 8 septembre, naissance de Marie ;
le 8 décembre, dogme de l’Immaculée Conception,
les « 888 » suivent l’Agneau partout où Il va !
Cela pouvait être aussi une ruse du démon !
J’ai tout relégué dans ma mémoire laissant au Seigneur et à Notre Mère la direction de ma vie.
En 2014, grande surprise, je suis appelée en début d’année à me rendre quelques jours à Pontmain, ville mariale que je n’ai jamais visitée.
Nous franchissons le porche de l’église paroissiale avec des amies et, première surprise, je ressens une onction de lys blanc qui ne pouvait aucunement embaumer cette église au mois de janvier ! Je m’attends à une autre surprise, j’en ai parfois du Seigneur et je les aime beaucoup !
Après la célébration de l’Eucharistie, nos pas nous guident vers une maison où nous attendent une grande famille et ô surprise, en passant devant leur longère, je ressens une nouvelle onction de lys blanc, impossible de trouver un lys blanc en fleur dans un jardin dans ce mois de janvier glacial, Pontmain étant surnommée la petite Sibérie !
Ainsi, les premiers chiffres de ma plaque d’immatriculation étaient en lien avec les apparitions de Pontmain !
Marie m’attendait à Pontmain où elle m’y a conduite quelques mois, le temps qu’elle avait besoin. Je suis à sa disposition.
Je vous choisis aujourd’hui, ô Marie, en présence de toute la Cour céleste, pour ma Mère et ma Reine. Je vous livre et consacre en toute soumission : mon corps, mon âme, (je rajoute mon esprit), mes biens intérieurs et extérieurs, et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi et de tout ce qui m’appartient, sans exception, selon votre bon plaisir, à la plus grande gloire de Dieu, dans le temps et l’éternité. Amen.[1]
Consécration à la Très Sainte Vierge Marie, selon saint Louis Marie Grignon de Montfort. Mgr Tournyol du Clos. Peut-on se libérer des esprits impurs. Un guide pratique vers la délivrance. Sixième édition. 2008. Edition L’Archistratège. N°3. Page 45.[1]
Ces nouveaux amis m’emmènent au Mont Saint Michel (j’y étais passée lors de vacances familiales, deux décennies auparavant) et dans le bus qui nous conduit, j’aperçois dans le ciel
des mouettes formant un « M », mes jeunes voisines auront le temps de l’admirer aussi.
Marie, reine des Anges m’accueillait-elle ?
Ou était-ce saint Michel Archange ?
Ou les deux ?
Aussi dans le deuxième livre « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu ».
APPARITION ET MESSAGE DE LA VIERGE MARIE A PONTMAIN :
En janvier 1871, la France, en guerre, est vaincue. Ceci par la faute de Napoléon III qui, après avoir trahi sa mission de défendre le souverain pontife à Rome, a été châtié par le Ciel.
Sur la montagne de La Salette, le 19 Septembre 1846, la Sainte Vierge avait prévenu Mélanie :
"Que le vicaire de mon Fils, le Souverain Pontife Pie IX, ne sorte plus de Rome après l'année 1859; mais qu'il soit ferme et généreux, qu'il combatte avec les armes de la foi et de l'amour ; je serai avec lui.
"Qu'il se méfie de Napoléon ; son coeur est double, et quand il voudra être à la fois Pape et empereur, bientôt Dieu se retirera de lui : il est cet aigle, qui voulant toujours s'élever, tombera sur l'épée dont il voulait se servir pour obliger les peuples à se faire élever". (Fin de citation).
En une seule journée, le 1er Septembre 1870, cet orgueilleux, lors de la bataille de Sedan, va perdre son armée, son empire, et sera exilé en Angleterre où il mourra. A l'issue de cette guerre, la France perdra l'Alsace et la Lorraine dont la superficie est égale à celle des états pontificaux que la France aurait dû défendre.
On ne se moque pas de Dieu ! En ce temps-là, la France l'a appris à ses dépens.
Ainsi l'armée prussienne poursuit son avance, Paris est assiégé, bientôt toutes les provinces de l'ouest vont se trouver aux mains de l'ennemi... si Dieu n'intervient pas !
Dans le petit village de Pontmain, la population suit les événements, le coeur serré.
Sous la direction de son vénéré pasteur, l'Abbé Guérin, elle ne cesse de supplier la miséricorde divine par l'intermédiaire de la Très Sainte Vierge.
Ce saint prêtre était curé depuis 1836. Les habitants de Pontmain ne pouvant supporter l'absence d'un prêtre dans leur village, avaient supplié l'évêque du Mans de bien vouloir leur en accorder un qui fut résidentiel. Quand Mr Guérin s'installa, l'église n'était plus qu'une pauvre masure à courants d'air et le presbytère ne valait guère mieux. Avec l'aide de ses paroissiens, il restaura l'église. Un ou deux ans plus tard, les plus gros travaux achevés, il entreprit l'ornementation du sanctuaire.
En 1851, trois ans avant la définition du dogme de l'Immaculée Conception, il procéda à l'érection d'une chapelle à la Vierge Immaculée.
On se souvient que le saint Curé d'Ars avait fait de même et tous deux avaient une grande dévotion envers la Très Sainte Vierge.
Sous l'impulsion de ce pasteur zélé, Pontmain devint bientôt l'une des paroisses les plus édifiantes de toute la contrée.
Ainsi, quand la guerre de 1870 éclata, redoubla-t-elle de ferveur.
Tous les matins, les fidèles se pressaient nombreux pour assister au saint sacrifice de la messe. Le soir, pour la récitation du chapelet, les habitants accouraient plus nombreux encore.
Dans ce petit village de 500 âmes, 38 jeunes gens avaient été appelés sous les drapeaux. Avant leur départ, ils s'étaient confessés, ainsi que leurs familles, avaient assisté à la messe et avaient tous communié.
PONTMAIN - L'ÉGLISE PAROISSIALE.
Une dernière fois, leur pasteur les avait bénis et, les ayant consacrés à la Très Sainte Vierge, il avait ajouté : "Vous en reviendrez tous" et il en fut ainsi.
La suite, vous la découvrirez dans mon deuxième livre « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu »[…]
Que la Vierge Marie nous vienne en aide dans nos temps difficiles...
Qu'Elle implore son Fils pour qu'Il se laisse toucher.
Jésus, Marie, venez sauver la France.
Je la remets à la Justice et à la Miséricorde de Dieu.
Et je la plonge dans le Sang de Jésus-Christ.
Ayez pitié de nous, de tous ceux qui souffrent. Nous vous en remercions.
Amen
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